Il publie son premier album de dessins dans la collection « Les chefs-d’œuvre du dessin » des éditions Planète. Le livre est préfacé par Louis Pauwels, qui écrit à propos de l’auteur : « Nous avons la même manière de nous dérober aux souvenirs d’enfance, de vivre sans passé, d’effacer les dates et les lieux, en quête d’un enracinement ailleurs. Des études incertaines, une errance sociale. Une attitude fondamentale, qui est médiumnique. Et, pour la conduite de la vie comme de l’œuvre, cette phrase de Meyrink, dont l’enseignement nous est commun : « Ce n’est pas ce que l’on regarde qui compte, c’est le lieu, en soi-même, d’où l’on regarde.»