Gourmelin publie aux éditions André Balland un nouvel album de dessins intitulé : «Pour tuer le temps». Cavanna, dans Charlie-Hebdo, écrit à propos de ce livre : «Il y a surtout certaines pages à vous couper le souffle, d’où l’angoisse jaillit et vous pompe la tête par les yeux. Angoisse de l’infini du temps, de l’infini de l’espace, de l’éternel retour, de l’implacable à quoi bon. Du néant. Surréalisme volontiers naïf, comme tous les surréalistes, mais jamais de pacotille, ce qui est plus rare.»